Né à Orihuela (Alicante) en 1910, c’est en 1930 qu’il publie ses premiers vers dans des revues comme « El Pueblo de Orihuela » ou « El día de Alicante », avec l’appui de son ami Ramón Sijé. Il s’installe à Madrid et travaille comme rédacteur pour le dictionnaire taurin Cossío, où il entre en contact avec les auteurs de la Génération de 27. C’est à cette époque qu’appartiennent les poèmes centrés sur le monde des taureaux et sur la bataille entre l’amour et la mort comme « El rayo que no cesa ». Pendant la guerre civile, il milite activement du côté républicain, ce qui lui vaut d’être incarcéré et condamné à mort à la fin du conflit. Avant de mourir, il publie sa dernière œuvre, « Cancionero y romancero de ausencias ».
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Le rayon ininterrompu
Ce recueil de poèmes de Miguel Hernández, à la thématique amoureuse, compte parmi ses œuvres les plus achevées et cohérentes.
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Autres œuvres d'exception
- Canción del esposo soldado
- Cancionero y romancero de ausencias