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Picasso. « Guernica » Modernisme et avant-gardes Le changement de siècle s'accompagne de nouveaux airs de modernité. Une attitude différente, plus libre, vis-à-vis de l'art et de la vie, caractérise la sensibilité esthétique de l'époque.

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José Sacristán Turiégano

  • José Sacristán Turiégano © Bernabé Cordón / EL MUNDO

    José Sacristán Turiégano © Bernabé Cordón / EL MUNDO

  

Spécialité

Cinéma, Théâtre

 

 

Date de naissance

27 sept. 1937
  


"Acteur, réalisateur et scénariste. Dans sa filmographie très abondante, il montre aussi bien une facette d'acteur comique que dramatique."

Né à Chinchón (Madrid) en 1937, il joue son premier rôle sur scène en 1973, dans « La balada de los inocentes ». À cette même époque, il commence à se produire dans des salles comme le théâtre Bellas Artes, le Centre dramatique et le théâtre Albéniz. Ses débuts cinématographiques datent de 1965, avec « La familia... y uno más » de Fernando Palacios. Dès lors, il interviendra dans plus de quatre-vingt-dix films, sous la direction de réalisateurs de la taille de José Luis Garci, Pedro Olea, Mario Camus, José Luis García Berlanga, Adolfo Aristarain ou Pilar Miró. En 1983, il dirige son premier long métrage, « Soldados de plomo ». Au théâtre, il triomphe dans des comédies musicales comme « l'Homme de la Manche » (1997), « Amadeus » (2000) ou « My Fair Lady » (2001). Il a en outre toujours réussi à concilier son activité théâtrale et cinématographique avec la télévision.

Prix

Meilleur acteur au festival de Saint-Sébastien (1978)
Médaille d'or du mérite des beaux-arts (2001) 
Prix Mayte du théâtre (2002)
Coquille d'argent du meilleur acteur (2012)
Prix national de la cinématographie (2021)
Prix Goya d’honneur (2022)

Œuvres incontournables

  • Film - Image générale

    El viaje a ninguna parte (interprétation)

    Un regard émouvant sur le monde des comédiens ambulants sous l’Espagne franquiste.

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  • Épilogue © EFE

    Epílogo (interprétation)

    Le réalisateur, Gonzalo Suárez, est également l’auteur des deux romans à l’origine de ce film : « Gorila en Hollywood » et « Rocabruno bate a Ditirambo ».

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Autres œuvres d'exception

  • El muerto y ser feliz (2012)
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