Né à Orense en 1929, il suit des études de droit à l’université de Saint-Jacques-de-Compostelle, puis se rend à Madrid en 1948 pour se former en philologie romane. Son recueil de poèmes « En guise d’espérance » reçoit le prix Adonais en 1954. Il enseigne l’espagnol à Oxford, puis travaille pour plusieurs organismes internationaux, notamment l’UNESCO, ce qui le conduit à vivre à Genève et à Paris. En 1986, il revient en Espagne et s’installe à Almería, où il réside en alternance avec Genève. Mis à part son œuvre poétique et narrative, il publie des essais littéraires, certains sur les grands poètes mystiques comme saint Jean de la Croix, qu’il admirait tant. En 1988, il partage le prix Príncipe de Asturias de littérature avec Carmen Martín Gaite. Il meurt à Genève en l’an 2000 des suites d’une longue maladie.
Prix
Prix Adonais (1954)
Prix de la critique (1960)
Prix de la critique (1980)
Prix de la Fondation Pablo Iglesias (1984)
Prix Príncipe de Asturias (1988)
Médaille d’argent d’Andalousie (1990)
Prix national de poésie (1993)
Prix Reina Sofía de poésie ibéro-américaine (1998)
Prix national de poésie (2001)
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A modo de esperanza
Œuvre poétique de José Ángel Valente qui lui valut le prix Adonais 1954.
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Fragments d’un livre futur
Ce recueil de poèmes – que le poète José Ángel Valente ne souhaitait publier qu’à titre posthume – met un point final à l’une des trajectoires les plus profondes et personnelles de la poésie espagnole du XXe siècle.
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Le chanteur n’apparaît pas
Ce recueil, écrit par Valente après la mort de son fils, est une magnifique élégie dans laquelle l’impossible compréhension de l’absence de l’être cher se traduit par l’extrême dépouillement du texte.
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Autres œuvres d'exception
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